Les étagères 1.3.4 offrent un cadre sur les objets qu’on y dépose ou expose. De face, la forme à l’avant de l’étagère apparaît comme une simple ligne, qui fait écho à la forme du fond, en aplat. La résonance induite par la répétition de ces deux formes met en valeur l’objet qui se trouve entre.
Les miroirs Racine carrée offrent la possibilité d’y accrocher une carte postale, une photos, un courrier, un foulard, voire un livre.
Les vases 1.42 présentent les fleurs d’une manière originale en les encadrant … à moins que celles-ci ne s’échappent et sortent du cadre!
Les boîtes Pompon peuvent servir de boîtes à bijoux, vides-poches ou boîtes à trésors …
L’élastique vient se poser contre la poignée, ce qui dévie sa ligne. Ce système d’ouverture inhabituel oblige à prêter attention à ce geste, ce qui rend le moment de l’ouverture et de la fermeture de la boîte un peu plus précieux.
Marion et Valentin souhaitaient une grande bibliothèque pour animer le mur et créer du rangement. Ils voulaient cependant garder des espaces de respiration, de vide. Nous avons repris un motif récurrent dans la maison. En effet, l’imbrication de carrés et rectangles de plusieurs dimensions apparaît sur le carrelage, sur la verrière de l’entrée, sur les pavés du jardin…
J’ai appliqué une patine sur l’acier pour obtenir le même aspect que leur escalier. Les modules sont assemblés avec du fil pour plusieurs raisons : il s’agit d’une solution facile à mettre en place et à enlever si les propriétaires veulent changer la configuration de leur bibliothèque. Le fil est aussi là pour montrer qu’une si grande installation peut tenir qu’à un fil !!!
Marie-Pascale voulait un bureau original et facile à vivre. Etant situé à l’entrée de la pièce, je trouvais intéressant de faire un pan coupé sur le plateau pour que le meuble s’intègre facilement à l’espace et aide à la circulation. La tablette est cousue au plateau. Elle est donc amovible.
J’aime jouer avec les contrastes. Ici, l’aplat du plateau noir apparaît tantôt massif, tantôt très léger lorsque la tranche fine fait écho aux fils tendus.
Ce meuble d’entrée, je l’ai fait pour moi ! Il s’agissait là d’expérimenter plusieurs choses : les tiroirs et placard mais aussi, l’assemblage de deux modules, par du fil. C’est le premier meuble assemblé que j’ai fabriqué. Créer des obliques, et un aspect « bancale » m’amusait. Et surtout, j’aime le fait que ce soit l’assemblage qui fait tenir le module de droite debout… sans être fixé au module de gauche, il tomberait.
J’ai aussi joué, ici, avec les pleins, les vides et les transparences données par le cordon tendu verticalement. Celui-ci ornemente la tôle par des points.
Clotilde et Heikel voulaient un banc coloré mais discret. Le métal noir contraste avec leur très jolie table en bois, le cordon vert menthe fait le lien avec les chaises.
Pour l’assise, nous avons travaillé ensemble sur le type de tissage et sur la proportions de chaque couleur.
J’adore tisser à même la structure, et créer une surface avec deux fils qui se croisent !
Ma Grand-Mère m’a téléphoné un jour en me demandant : « Marie-Agathe, saurais-tu fabriquer des crèches? » Elle souhaitait les offrir à ses arrières-petits-enfants.
Après un peu de réflexion et quelques essais, j’ai fabriqué ces crèches minimalistes et graphiques. Pour une fois, j’ai souhaité intégrer du bois. Il me semblait nécessaire que le socle soit fait dans un autre matériau, à la fois pour mettre en valeur les personnages et pour créer une sorte de mini-architecture.
Parce que leurs amis sont nuls aux fléchettes, et pour conserver de bonnes relations (!), J&L voulaient protéger leur mur. Ils avaient l’idée d’un cadre habillé de bouchons de liège pour allier décoration et protection. A la manière d’un lé de papier peint, ce cadre anime et apporte de la chaleur à l’espace.
J&L souhaitaient rendre ces niches plus fonctionnelles. Pour faire écho à leur escalier, et en utilisant le même vocabulaire, ces étagères sont de simples tôles d’acier pliées et noircies.
Ce petit bout de canapé mobile est très pratique. Tantôt en complément de la table basse, tantôt en support pour lire ou écrire… il ne prend pas de place !
Pauline voulait un petit meuble de rangement ultra-fonctionnel mais un peu funky quand même !
Marie-Pascale voulait une grande bibliothèque dans son bureau, avec étagères et modules fermés.
L’idée des arches m’est venue de la cathédrale de Chartres, située à deux pas. Les courbes apportent un peu de légèreté à l’ensemble.
Pour sa maison de campagne, Elisabeth souhaitait que sa table basse soit modulable : tantôt regroupées au centre de la pièce, tantôt dispatchées tels des bouts de canapé, les 3 petites tables basses gigognent offrent une infinité de configuration.
L’église de Méréville avait besoin d’un porte-encensoir… J’ai proposé un support graphique et sobre pour qu’il s’intègre au mieux à son environnement.
Maryline et Olivier avaient envie de mettre en scène les plantes de leur véranda.
marieagathe.paty[@]gmail.com
34 rue Diderot, 91660 Méréville
06 12 59 01 93